Cinquième période de l’histoire FMI

Les FMI en France au cours du XXe siècle.

Les FMI en France au cours du XXe siècle.

1940 : Troyes (Aube)


Basilique St Urbain à Troyes

Q uelques Pères avaient été envoyés dans le diocèse individuellement pour diverses missions, à l’aumônerie de la clinique des Ursulines ou comme missionnaires itinérants…
En 1947, le P. Benjamin Honoré, Supérieur Général, engage avec Mgr. Le Couédic la présence des FMI pour 25 années, dans la charge Pastorale de la Paroisse et de la Basilique St Urbain.
En 1972, Mgr Fauchet demande aux FMI de prendre en charge le secteur paroissial de Romilly sur Seine, puis à Troyes, de St Bruno, de St André les Vergers, de St Nizier…
En 1992, avec Mgr Daucourt, les FMI prennent en charge le secteur paroissial de Bar-sur- Aube. Aller voir Bar sur Aube

1955 : Villiers-en-Plaine

La maison du noviciat à Viliers en Plaine (Deux-Sèvres)

Le noviciat des Fils de Marie Immaculée se déroulait depuis plusieurs années à Mouilleron-en-Pareds dans la maison de Saint Sauveur en proximité du scolasticat. A la suite d’une donation, une possibilité s’offrait d’une maison indépendante dans les Deux-Sèvres à une quinzaine de kms de Niort. Villiers en Plaine fut la maison du noviciat pour une dizaine d’année.

1968 : Bordeaux

La formation des jeunes FMI en philosophie et théologie était assurée au scolasticat St Sauveur à Mouilleron-en- Pareds. Mais le Conseil général était à la recherche d’une ville universitaire en vue de séparer en deux les cycles de formation conformément au décret conciliaire sur la formation des prêtres. En lien avec les Congrégations de la Fédération Notre Dame, le Conseil général s’orienta pour le deuxième cycle vers Bordeaux où les Pères de Bétharram offraient une maison, Bel Sito à Floirac, pouvant accueillir les étudiants. Ce fut l’origine de la présence des Fmi dans le diocèse de Bordeaux. Les FMI par la suite établirent une communauté rue Pierre-Duhem en 1977, puis rue Calvé en 1992 en assurant divers ministères dans les aumôneries et les paroisses.
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1972 – 1992 : Naintré, Poitiers

Depuis les origines de la Congrégation, les FMI ont eu de nombreux liens avec le diocèse de Poitiers avec une première fondation à Niort en 1845 puis avec la fondation par le P. Pécot de la Congrégation des Sœurs de l’Immaculée.
D’autres communautés FMI s’implantèrent plus récemment dans le diocèse de Poitiers :

  • à Naintré de 1972 à 1985
  • à Poitiers, rue des Gaillards de 1985 à 1992.

1980 : Paris

Autour des années 1980, plusieurs FMI vivent à Paris pour diverses raisons : études, aumônerie, profession, ministère paroissial… Tout en ayant chacun leur lieu de résidence, ils se retrouvent régulièrement et ont pour mission d’accueillir les FMI qui viennent à Paris pour des temps de recyclage ou d’études.
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1970 : en Corrèze – Dordogne : Cublac – Terrasson - Le Bugue - Nontron

Maison des FMI à Cublac en Corrèze

A partir des années 1970, plusieurs Pères FMI sont en ministère pastoral et professionnel (service paroissial, éducation, bâtiment) en Corrèze et en Dordogne.

1987 : Cublac. Une communauté de trois Pères s’y établit près de Terrasson, en lien avec les autres Pères qui sont à Ussel, Sornac et La Peyrouse.

2000 : Le Bugue. Le secteur paroissial est confié par le diocèse de Périgueux à deux FMI : les PP. Julien Charrier et Bernard Lambert.

2006 : Nontron.

En accord avec l’évêché de Périgueux une équipe de trois Pères FMI et trois Sœurs UdJ est envoyée ensemble en mission dans le secteur pastoral de Nontron. Les Pères résident à Nontron et les Sœurs sont à Javerlhac à quelques kilomètres.
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Equipe FMI-UdJ pour une mission commune à Nontron en Dordogne

2007 Bordeaux En 2007 un secteur composé de quatre paroisses sur la rive droite de la Garonne est confié au Père Pierre Genais. Après une longue expérience pastorale dans le diocèse de Troyes et quelques années passées au service de la Congrégation à Chavagnes, il prend en charge les paroisses de Bordeaux-Bastide et Floirac. Il est secondé au départ par le Père Joseph Sambiéni du Togo, puis par le Père Henri Brenon qui avait passé plus de 40 ans aux Antilles.

PP. Pierre Genais et Henri Brenon
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