« Grain de moutarde » et graine d’espérance

« Rendre compte de l’Espérance qui est en vous » :

Ce sont les mots que le « Grain de moutarde » des 15 – 16 novembre 2014 a voulu « mâcher », selon le conseil du P. Baudouin, pour en goûter la saveur et en faire une nourriture pour la vie.

Ils étaient plus de soixante à venir à Chavagnes des diverses régions où ont commencé à croître de petits « grains de moutarde », de l’Ariège, de Charente, de Dordogne, de Châteauroux, d’Angoulême, de Poitiers, de Nantes, de Vendée…

Les différents groupes ont d’abord partagé sur la saveur et les fruits du « grain de moutarde »de l’année précédente : « Croire à la vie, croire en la Vie ».

Une « reporter » s’est alors présentée, interrogeant divers « passants » : « Pour vous, aujourd’hui, quelle est votre espérance ? » Entre les signes d’inquiétudes, les espoirs des uns ou des autres, et l’Espérance, tous avaient besoin d’éclaircissements et d’approfondissement.

Trois personnes sont intervenues pour guider notre réflexion, chacune à partir de leur expérience :

Le P. Antoine Brethomé :

« Sur quelle espérance fondons-nous notre dynamisme missionnaire ? »

Notre dynamisme missionnaire s’appuie sur cette certitude que le Christ vivant nous précède dans les "Galilées" d’aujourd’hui.

voir : Sur quelle espérance fondons-nous notre dynamisme missionnaire

Mme Anita Trichet :
« Quelle est mon expérience ? Comment je renouvelle mon enthousiasme missionnaire ? »

Ces paroles du prophète Isaïe 43, 1-3 m’emplissent le cœur d’espérance : « Ne crains pas car je t’ai racheté, je t’ai appelé par ton nom… Car moi le Seigneur, je suis ton Dieu. Tu as du prix à mes yeux et je t’aime. Ne crains pas car je suis avec toi… » Voir : Quelle espérance m’anime

Sr Jeanine Barbot :

« Notre enthousiasme missionnaire animé par notre Espérance, en lien avec le P. Pécot."

« Mon bonheur est de m’attacher à Dieu et de mettre en lui mon espérance. »
Maxime du Père Pécot

voir : Vivre l’espérance à la suite du P. Pécot

Après chaque intervention, en petits groupes, les participants réagissent aux interpellations de l’intervenant et chacun essaie de partager les signes d’espérance dont il est témoin et de l’espérance qui l’habite personnellement.

Chaque groupe rapporte ensuite de petites flammes qui viennent se répandre comme autant d’étincelles autour du magnifique « feu de l’Espérance » qui a été préparé.

Ce « feu de l’Espérance » entouré de ses nombreuses étincelles est apporté parmi les offrandes eucharistiques.

A la fin de l’eucharistie, Mme Anne-Marie Allain renouvelle son engagement

dans la Famille de l’Incarnation parmi les membres associés.

«  Ne nous laissons pas voler l’Espérance  » nous recommande le Pape François dans la "Joie de l’Evangile".
« Lors de ce week-end, écrit une participante, j’ai découvert que l’Espérance est un feu vivant, pétillant et chaleureux ».

P. Marcel Berthomé, Ste Marie
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